J'écris les équations d'Einstein avec à gauche le tenseur géométrique d'Einstein plus la constante cosmologique comme l'a confirmé Cartan (et l'écrivait Mgr Lemaitre) si l'on veut respecter les principes édictés par Einstein lui-même. J'introduis à droite le tenseur énergie-impulsion de la matière plus du rayonnement. L'effet Casimir me dit que j'ai oublié un terme à droite, l'énergie du vide, et donc je la rajoute.

En résumé, à gauche j'ai une constante que je dois mesurer et à droite une énergie du vide que je peux essayer de calculer. J'effectue alors l'opération suivante, l'énergie du vide je la fait passer à gauche donc la question que je me pose maintenant (après mon calcul de l'énergie du vide, certainement faux). Pourquoi ma constante cosmologique est si grande (en fait la somme des 2 termes) ?

Pour pouvoir mesurer ma constante cosmologique (en fait la différence), il me faut construire un modèle. A grande échelle, je considère l'espace homogène et isotrope. Grâce à ce modèle et à mes mesures je trouve une constante cosmologique très faible (pourquoi pas la constante de Planck est infime ?). Mais dans mon modèle j'ai lissé sur une grande échelle le tenseur énergie-impulsion donc aussi l'énergie du vide. Peut-on alors supposer que l'énergie du vide est nulle à grande échelle (échelle à définir en fait) même si localement elle ne l'est pas ?

Il n'y a pas besoin de faire intervenir par exemple la supersymétrie pour annuler l'énergie du vide sachant que le lhc n'a toujours pas confirmer cette théorie et pourtant localement l'énergie du vide a été mise en évidence mais qu’en est-il en moyenne (échelle à définir mais il semble que cette échelle soit extrêmement basse via l'effet Casimir) ?